This time it's Louis Armstrong "swinging on nothing" the year I was made inside my mother. Atavistique, cette musique, car je crois connaître cet air sans jamais l'avoir appris. Et puis la grosse danseuse est à l'image de toutes les grosses filles qui m'ont couru après plus tard, Francoise Arbour, Helene Poirier, Judy Lacroix, Jesse Amyot...Cant escape a destiny's synchronicity, I guess.
De terminer ma vie avec la svelte Nicole de 113 livres (nue) n'est que justice poétique.
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